« On ne résout pas un problème en restant au même niveau de pensée que celui qui l'a généré. »

A. Einstein

La science, selon la définition du dictionnaire, est une "Activité qui consiste à étudier et analyser les lois qui régissent des phénomènes."    

Les Constellations  sont dans ce sens une véritable science du champ familial car c'est une méthode purement phénoménologique. Elle s'est développée uniquement sur l'observation,  depuis des décennies, de phénomènes pendant les séances de travail de groupes qui ont permis de mettre en lumière les lois qui régissent un système familial.  (cf. Les 3 grandes règles)

 

A ce jour les dernières recherches en sciences abondent dans le sens des Constellations.

 

Les découvertes scientifiques en épigénétique valident  et expliquent la notion de mémoires transgénérationnelles.

"L'épigénétique est l'étude des changements d'activité des gènes - donc des changements de caractères - qui sont transmis au fil des divisions cellulaires ou des générations sans faire appel à des mutations de l'ADN."

La mémoire des traumatismes (guerres, violences, catastrophes naturelles majeures) se transmet de génération en génération par l'épigénétique. 

Avec l'épigénétique on sait qu'on porte les émotions de nos ancêtres. Les drames de nos ancêtres passent par l'épigénétique. Ce n'est pas la structure de l'ADN qui change mais les molécules activées de l'ADN.

« Il y a en nous deux personnes : une qui a vécu des choses, une qui porte des choses qu'elle n'a pas vécues. »

Bruno Clavier, psychologue et psychanalyste clinicien,

auteur des Fantômes familiaux.

« Nous portons en nous le génome de notre famille, pas seulement dans sa dimension physique, mais aussi psychique. Nous sommes héritiers des affects émotionnels de ceux qui nous ont précédés »

Bruno Clavier

 

Je vous invite à regarder ces vidéos :

 

Ce que la science sait désormais de ces traumatismes passés qui peuvent être reçus en héritage génétique :

 

Une étude américaine menée par la psychiatre Rachel Yehuda conclut que les traumatismes peuvent se transmettre à travers les générations au sein d'une même famille. Si un parent est "traumatisé" sa descendance pourrait, épigénétiquement, en ressentir les effets. Comment se traduisent-ils ?

Axel Kahn : Cela veut dire que si le traumatisme entraine chez la personne une certaine anxiété, des insomnies, une hyperréactivité, des troubles de l'humeur, c'est que cette anomalie, ces modifications du comportement, ont été observé chez l'objet du traumatisme mais aussi chez ses descendants à travers les générations. C'est la reproduction chez les humains d'une expérience menée, il y a une dizaine d'années, sur des rongeurs de laboratoire. On a soumis à des stresses des femelles enceintes, et l'on a vu différents troubles de comportement chez les fœtus, mais également sur plusieurs générations. C'est une répétition tout à fait typique de cette expérience, il s'agit non pas d'une modification des gènes, qui n'ont rien à voir, mais d'une modification épigénétique qui agit sur l'hérédité des gènes et leur niveau d'activité. Le traumatisme peut être aussi bien physique que psychologique, l'expérience sur les rongeurs le démontre, qui peut se traduire chez les descendants par les symptômes que nous avons évoqués plus haut.    

L'étude affirme que la transmission du trauma touche avant tout les hommes, de père en fils, ou de grand père en petits fils, comment l'expliquer ? Le chromosome Y serait-il plus sujet, épigénétiquement, à cette transmission ?

Non le chromosome Y n'y est pour rien, si par hasard les gènes soumis à l'empreinte sont en particulier les gènes portés par X, c'est ce que l'on attend. Chez les femmes, qui ont deux chromosomes X contrairement aux hommes qui ont X et Y, il n'y a qu'un seul chromosome X sur deux qui est actif. Si une femme est traumatisée, elle va transmettre le chromosome X à ses filles, et le X soumis à l'empreinte du trauma va se retrouver en face d'un autre X, donc il n'y aura rien. Chez les hommes, le seul X actif sera celui transmis par la mère, il est donc normal de trouver un risque de transmission supérieure pour le sexe masculin. Cela suggère que certains des gènes soumis à l'empreinte, dont le niveau de fonctionnement a été modifié par l'expérience traumatisante, sont portés par le chromosome X. C'est une hypothèse purement génétique, mais on ne peut pas totalement exclure qu'il y ait une multiplicité des effets entre une prédisposition épigénétique, et une influence hormonale qui amène les hommes à y être plus sensibles.

Est-il possible de détecter la transmission avant la naissance ? Faut-il suivre plus particulièrement les descendants "à risques" ?

Non ce n'est pas possible pour l'instant, on peut détecter des mutations et faire des modifications dans la suite des lettres qui forment l'alphabet génétique, mais ce sont des changements de cet ordre, ici on est dans l'épigénétique. La correction porterait sur le manchon des protéines qui sont situées autour de l'ADN, et qui interviennent dans le niveau de fonctionnement des gènes, et cela on est incapable de l'examiner en prénatale.

 

       La physique quantique  nous confirme  que l'univers dans lequel nous vivons n'est pas composé d'objets solides mais d'énergie et d'information. 

Quantum signifie : "une quantité déterminée d'énergie électromagnétique". Il s'agit pour reprendre les termes de Gregg Braden "du matériau dont est constitué notre monde quand nous le réduisons à son essence".

 

        Du point de vu quantique il existe trois niveaux d'existence : 

 

1 - Le niveau physique, celui de la matière.

2 - Le niveau quantique, tout est information et énergie. A ce niveau tout est "insubstantiel".

3 - Le niveau non localisé.  A ce niveau la séparation espace-temps n'existe pas. La communication non localisée est une réalité. 

 

      La physique quantique nous emmène dans un univers où,  dans sa réalité ultime, tout est inter-relié, rien n'est séparé. Il existe un champ énergétique intelligent qui relie toutes choses et par l'intermédiaire de ce champ une communication transcendant l'espace et le temps est possible. 

Pendant une Constellation, tous ensemble nous créons un champ, le Champ qui sait. C'est grâce à ce champ que nous accédons à des informations qui échappent complètement à notre entendement.

 

        La science moderne propose une nouvelle vision de temps :

Selon l'expérience dite de la gomme quantique, le présent a le pouvoir de modifier ce qui est déjà survenu dans le passé. On sait modifier le destin et le passé d'une particule.

Pendant le travail de Constellation, on réunit ce qui a été séparé. On permet d'être en lien avec des membres de notre famille, de rendre hommage, de recréer le lien si nécessaire, de regarder ceux qui ont besoin d'être vus. On retourne, si besoin, dans le passé afin de pouvoir vraiment le laisser au passé, le congédier pour se tourner enfin vers l'avenir.

 

       La physique quantique utilise le terme "intrication" pour désigner le lien éternel et instantané entre 2 particules ayant été en contact une fois dans leur vie.  : tout évènement arrivant à l'une sera instantanément perçu par l'autre, indépendamment de la distance qui les sépare. 

      Il a été prouvé scientifiquement (cf. Paradoxe d'Eintstein-Podolsky-Rosen) que le fait d'observer l'onde-particule A affectait l'onde-particule B quelle que soit la distance.  Il existe donc une communication non localisée,  un transfert instantané d'information. 

       Cette notion d'intrication est très visible en Constellation. Une personne intriquée porte le destin d'un autre. Elle est comme possédée par des émotions qui ne lui appartiennent pas. Elle est affectée par des évènements qu'elle n'a pas connus. 

« Pour sortir d'une intrication, il faut de la conscience. »

 Sophie Hellinger

       La Constellation permet de mettre en lumière l'intrication, de la reconnaître pour s'en libérer. Contrairement aux apparences qui nous font croire que nous sommes séparés les uns des autres, nous sommes en réalité tous unis. 

 

          Il a été démontré que c'est l'observation qui fait qu'une onde devient une particule. Sans observateur tout ne serait qu'un pur potentiel , un paquet d'énergie. Le rôle de la  Conscience qui observe est réhabilitée.

La recherche scientifique a également démontré qu'en changeant notre perception, notre façon de voir ce qui nous est arrivé dans le passé, nous changeons le fonctionnement chimique de notre corps. 

Nos pensées déclenchent  des substances chimiques dans notre corps.

La Constellation touche le cœur, l'âme. Elle change notre perception. Nous portons un autre regard sur nous même, sur nos proches, sur nos ancêtres. Elle fait émerger un sentiment de bienveillance et bien souvent de soulagement et de détente quand nous retrouvons notre place au sein de notre famille, quand nous sortons d'une intrication, quand enfin nous recréons le lien avec un proche ou un aïeul.

Bien sûr, en nous libérant de nos émotions négatives, de nos peurs, de nos colères, nous changeons positivement le fonctionnement chimique dans notre corps. 

« Notre corps est la représentation en relief de nos pensées »

Dr. Deepak Chopra.

 

La notion de Champ est  au cœur de la science  moderne. 

Tout système est un champ d'énergie et d'information  et c'est bien cela qui marqua l'esprit du chercheur Rupert Sheldrake (biologiste qui développa la théorie du Champ morphique) quand il assista à un séminaire de Constellations avec B. Hellinger.

La théorie du champ morphique de R. Sheldrake permet de mieux comprendre le fonctionnement des Constellations.

On appelle champ morphique une région d'influence non matérielle dans l'espace et dans le temps. 

 En effet selon cette théorie, tout système possède son propre champ qu'il s'agisse d'un organisme vivant, d'un système social ou familial.

Le champ morphique possède une mémoire. "La mémoire est inhérente à la nature."

Une famille en tant que système possède son propre champ. Ce champ présent pendant les Constellations est un champ d'information devenu accessible. Quand on crée ce champ, le système familial est présent. 

Selon R. Sheldrake le travail des Constellations met en place un champ morphique source d'informations, un champ de connaissance, de mémoire. 

 "Le processus par lequel le passé devient présent au sein de champs morphiques est nommé résonance morphique."

 

 

 Voici comment R. Sheldrake expose sa théorie : 

(Extrait de Le Corps énergétique de l’homme)

 

       Vers les années vingt de ce siècle, un certain nombre de savants ont, indépendamment les uns des autres, commencé à avancer l’hypothèse des champs biologiques : tout autour des entités biologiques existent des champs définis comme des régions d’influence dans le temps et dans l’espace. L’analogie qui intéressait le plus les savants concerne les champs magnétiques. Un champ magnétique ne se situe pas seulement à l’intérieur de l’aimant mais aussi tout autour de lui. On peut voir ses lignes de force lorsque l’on jette par exemple de la limaille de fer autour d’un aimant et qu’elle s’organise autour de lui.

       L’idée est que ces champs biologiques existent autour des organismes vivants. Bien évidemment, autour des êtres vivants on observe aussi des champs électromagnétiques, mais ces savants pensent qu’il existe aussi d’autres champs structurés par le vivant, différents des champs électromagnétiques. L’une des raisons pour lesquelles il s’est avéré nécessaire d’adopter cette idée en biologie, est que l’on peut couper un aimant en petits morceaux et chaque morceau reste un aimant. Si vous coupez un saule, chaque bouture redonnera un saule. Il y a donc là quelque chose de vivant qui se régénère — quelque chose de très différent de ce qui se passe pour les machines.

       Essayez donc de découper un ordinateur en petits morceaux, vous verrez bien s’il repousse !

     On a donc pensé qu’il y avait des champs qui organisaient l’espace autour des êtres vivants, et qui d’une certaine façon contenaient, comme sur un plan d’architecte, la forme du vivant qu’ils entouraient. La raison pour laquelle il nous fallait cette idée de champ tenait au fait qu’il était impossible d’expliquer des formes biologiques en recourant exclusivement aux substances chimiques, à l’ADN par exemple ou à d’autres composés.

     Pensez à vos bras et à vos jambes. Ils contiennent exactement les mêmes composés chimiques, leurs protéines sont les mêmes, les os sont les mêmes, les cellules sont les mêmes, il n’y a pas de protéines particulières aux jambes ou aux bras. L’ADN est le même en toutes circonstances, dans toutes les cellules de l’organisme. Alors comment se fait-il que les jambes et les bras aient des formes différentes ? Il y a là manifestement à l’œuvre quelque chose de plus que l’ADN, et l’idée des champs morphogénétiques qui modèleraient les formes biologiques s’est donc révélée de première importance pour expliquer l’évolution des embryons. Ces champs expliqueraient le fait que des composés au départ identiques donnent des formes différentes.

     Une autre analogie qui permet de comprendre ce concept est l’analogie du bâtiment. Avec du ciment et des briques, vous pouvez construire une structure qui sera une maison. Mais si vous avez un plan d’architecte, vous pouvez à partir de ces mêmes matériaux construire une maison tout autre. Ce ne sont pas les matériaux qui déterminent la forme de la maison. Les matériaux sont nécessaires à la construction, mais pas suffisants pour en expliquer la forme.

    De même chez les organismes vivants, les structures matérielles — y compris le pool génétique — sont des éléments nécessaires à l’organisme mais ils ne sont pas suffisants pour l’explication complète de sa forme. Cette forme, au terme de cette hypothèse, dépend des champs morphogénétiques, c’est-à-dire des champs qui déterminent les formes.

     L’idée des champs morphogénétiques a été largement acceptée en biologie. Nombre de spécialistes en embryologie utilisent ce terme, et le concept a une influence très importante depuis les années vingt, date à laquelle il a été avancé pour la première fois.

    La question qui se pose est alors celle du sens que nous donnons à ce concept. Si nous considérons que ces champs modèlent la vie, comment expliquer ces champs ? Une sorte d’interaction physico-chimique ? En fait cela ne recouvre pas une réalité nouvelle, cela recouvre simplement toutes sortes de phénomènes extrêmement complexes que nous avons voulu désigner par un terme simple. Il se trouve que toutes ces interactions sont extrêmement complexes, nous n’en comprenons pas tous les détails, voilà pourquoi nous avons inventé ce concept. C’est là l’explication la plus courante en biologie : nous disons que nous ne comprenons pas tout mais nous savons au bout du compte qu’il s’agit de constructions très complexes qui reposent sur des choses que nous pourrions savoir.

     L’autre conception est d’un ordre plus platonicien. Selon elle, il y a peut-être des équations mathématiques éternelles qui existent dans un royaume platonicien par-delà ce que nous connaissons de l’espace et du temps. Ce royaume est par essence non évolutionniste. Il a malgré tous ses déterminismes.

      Cette approche holistique n’explique pas tout non plus. Je vais proposer pour ma part une troisième explication.

Ces champs possèderaient une mémoire qui leur est propre et qui dépend des formes passées. Ils évoluent, ont un caractère historique et une mémoire, contrairement à ce qui est de l’ordre platonicien.

     Les champs morphogénétiques de l’éléphant, par exemple, qui modèlent la croissance de l’embryon puis du fœtus et de l’éléphant proprement dit, et qui par la suite modèlent son comportement, ne sont pas uniquement déterminés par la physique et la chimie telles que nous les connaissons, pas plus qu’ils ne sont déterminés par des équations éternelles de l’éléphant qui existeraient dans un royaume des idées, mais bien plutôt par le passé des éléphants.

      Par le biais de la résonance morphique les éléphants se mettent en phase avec la mémoire collective de l’éléphant et de cette manière ils entrent en communication avec leur passé collectif, tandis qu’eux-mêmes y apportent leur contribution. Toutes les espèces ont ainsi une mémoire collective, une mémoire qui gère en pool tous les avatars passés de leur mémoire, et c’est ce qui sous-tend leurs instincts, leurs comportements.

     Cette idée de champs morphiques, de champs qui donnent naissance à des formes, n’est pas une idée propre à la biologie comme je l’ai expliqué au départ. Il y a des champs organisateurs de même type qui interviennent dans la formation des molécules des cristaux et aussi, à des niveaux plus élevés, dans l’organisation des sociétés, des écosystèmes des planètes, des galaxies et de l’univers tout entier. Les champs morphiques existent à toutes sortes de niveaux. L’univers est composé de structures gigognes de champs qui s’imbriquent les uns dans les autres et qui tous ont une mémoire.

     Cette hypothèse permet de faire toute une série de prévisions qui peuvent ensuite être vérifiées par l’expérience.

J’ai parlé au départ des prévisions concernant les cristaux. J’ai dit que les nouveaux composés devaient s’avérer de plus en plus faciles à cristalliser à mesure que cela avait déjà été réalisé une, deux ou plusieurs fois, ce qui semble être le cas.

Dans le domaine de la biologie de l’environnement, il devrait s’avérer de plus en plus facile pour les animaux et les plantes de se développer de façon nouvelle si d’autres avant eux l’ont accompli. Et d’ores et déjà nous avons vu dans des expériences qui ont été consacrées à certaines mouches que plus importante est la fréquence des mutations de certaines d’entre elles, plus le phénomène va se produire de façon généralisée. C’est ce qui s’appelle la mémoire de l’univers.

     La théorie dit aussi que de nouveaux modes de comportement devraient s’avérer plus faciles à acquérir par le règne animal si quelques prédécesseurs les ont déjà acquis. Je vous ai déjà parlé des rats. J’en donne de nombreux exemples dans mes livres. Lorsqu’on étudie des séries très longues, on s’aperçoit que le comportement des rats s’est extraordinairement amélioré, non pas seulement à l’endroit où était conduite l’expérience initiale, mais partout dans le monde.

    Tout cela évidemment doit s’appliquer à l’homme dans le domaine des formes. Nous avons hérité un modèle de nos ancêtres, de toute l’humanité qui nous a précédés. Tout ce que je viens de dire pour le règne minéral et animal devrait s’appliquer à nous en ce qui concerne notre inconscient, notre aptitude à apprendre, nos instincts. Il devrait être plus facile d’apprendre des choses que d’autres ont déjà apprises avant nous, de plus en plus facile d’apprendre l’informatique ou le wind surf, simplement du fait qu’un certain nombre d’entre nous l’ont déjà fait.

      En ce qui concerne l’utilisation des langues, nous aurons du mal à cerner les progrès parce que ce sont des activités qui se poursuivent depuis des milliers d’années, et il est donc extrêmement difficile de repérer les différences. Mais lorsque vous essayez de vous concentrer sur une qualification ou une spécialisation nouvelle ou plus récente, vous pouvez très facilement constater l’apparition d’habitudes.

     Toute une série d’expériences ont été conduites pour essayer de vérifier la véracité de ces affirmations. Jusqu’ici toutes ont confirmé notre hypothèse de départ. Elles ont donné des résultats qui semblent indiquer que la résonance morphique a certainement sa place dans l’acquisition des connaissances.

 

 

En ce qui concerne les Constellations, pour B. Hellinger, nul besoin de chercher à comprendre le processus. 

" Par le respect du mystère, des informations nous parviennent d'une dimension cachée. "

Il se plaît à rappeler la légende de la ville de Cologne en Allemagne :

" Il était un temps où des petits lutins faisaient tout le travail la nuit dans cette ville. Jusqu'au jour où un habitant voulut savoir comment ils faisaient. Depuis ce jour ils ont disparu. "